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Proxima Centauri

Musica electroacústica – Música de cámara

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Vídeo de YouTube VVV1R3lsaE9tTDRvcm4xakQxTWR2d3lnLlZzZXZkMmdoU3Q0 Pierre Jodlowski - Coliseum (extrait) Création le 28 novembre 2008 par l’Ensemble Proxima Centauri dans le cadre du Festival Novart à Bordeaux. Pierre Jodlowski : Lors d’une visite aux Arènes de Nîmes, j’ai été frappé par l’enfilade des corridors, des couloirs, des perspectives, de la tension intrinsèque à ces lieux, comme si l’architecture et la lumière gardaient la trace de la violence antique. J’ai eu la vision d’un long travelling dans les différents niveaux, succession de déplacements convergent tous, d’une manière inéluctable, vers le centre, aucune autre issue n’étant possible. Cette tension visuelle est à l’origine de la conduite de l’énergie du projet, qui va toujours vers des mouvements de tension et de cassure. Lorsqu’elle se calme, la musique veut tendre vers la poussière, vers le souffle de l’avant, l’inspiration qui précède l’entrée en scène. Sans être directement narrative, la forme et le matériau suivent un cheminement que cette errance m’a suggérée : une dynamique et un jeu de force qui s’opposent ou s’entraînent, se divisent ou s’ajoutent. Cette pièce est dédiée à l’Ensemble Proxima Centauri et tout particulièrement à Maribé
Pierre Jodlowski - Coliseum (extrait) Création le 28 novembre 2008 par l’Ensemble Proxima Centauri dans le cadre du Festival Novart à Bordeaux. Pierre Jodlowski : Lors d’une visite aux Arènes de Nîmes, j’ai été frappé par l’enfilade des corridors, des couloirs, des perspectives, de la tension intrinsèque à ces lieux, comme si l’architecture et la lumière gardaient la trace de la violence antique. J’ai eu la vision d’un long travelling dans les différents niveaux, succession de déplacements convergent tous, d’une manière inéluctable, vers le centre, aucune autre issue n’étant possible. Cette tension visuelle est à l’origine de la conduite de l’énergie du projet, qui va toujours vers des mouvements de tension et de cassure. Lorsqu’elle se calme, la musique veut tendre vers la poussière, vers le souffle de l’avant, l’inspiration qui précède l’entrée en scène. Sans être directement narrative, la forme et le matériau suivent un cheminement que cette errance m’a suggérée : une dynamique et un jeu de force qui s’opposent ou s’entraînent, se divisent ou s’ajoutent. Cette pièce est dédiée à l’Ensemble Proxima Centauri et tout particulièrement à Maribé
Abyssal (2008) pour flûte, saxophone, violoncelle, piano, 2 percussions et électronique. Cette œuvre peut s’entendre comme l’expression musicale d’une descente en eaux profondes, une avancée vers un monde sonore intemporel. Les sons progressent lentement vers les fréquences les plus basses avec des contours de moins en moins définis. Cet état latent évolue, après quelques paliers de décompression, vers un jaillissement final. Le traitement électroacoustique permet de métamorphoser les objets sonores par filtrage des contours (du plus défini au plus flou), puis de projeter les sons dans un espace hors scène. COMPOSITEUR Thierry Alla ARTISTES Proxima Centauri : Marie-Bernadette Charrier, saxophones Sylvain Millepied, flûtes Clément Fauconnet, percussions Hervé N’Kaoua, piano Christophe Havel, électronique avec la participation de : Laurence Dufour, violoncelle Mathieu Ben Hassen, percussions CD "Empreintes - l'empreinte saxophonistique de Thierry Alla" Editions MAGUELONE MAG·48 https://www.maguelone.fr/fr/home/185-empreintes-thierry-alla-2-cds-3770003584483.html
Proxima Centauri · Concert OPUS 25.1 au Rocher de Palmer, Cenon Jeudi 27 mars 2025 Saxophone baryton : Marie-Bernadette Charrier Electronique : Christophe Havel Antanáklasi est un cycle d'œuvres pour instrument soliste avec ou sans électronique inspirées par le tableau Al espejo (au miroir, en français) de la peintre et illustratrice argentine Gabriela Aberastury. Le titre Antanáklasi signifie « reflet » en grec. Antanáklasi II (2019-2022) est la deuxième pièce du cycle pour saxophone baryton et électronique. Dans la toile Al espejo, nous pouvons voir un axe vertical qui divise le tableau en deux parties différentes, sans savoir lequel est l'objet ou le reflet au sein de la composition visuelle. L'un des côtés contient des structures prismatiques orientées vers différentes directions, étant en cela un espace plutôt tridimensionnel. Au contraire, l'autre côté est plutôt bidimensionnel, construit par des lignes imprévisibles avec certains points de rencontres entre elles. D'une certaine manière, cela est également exprimé dans la pièce musicale à travers l'imitation, par exemple, sur les matériaux joués par le saxophone qui sont entendus par la suite dans l'électronique, et à travers l'idée de changement de rôles, quand un objet reflété devient un reflet, et vice-versa. Énormes remerciements à Santiago ORTIZ pour la captation et le montage, et au Rocher de Palmer pour son accueil. https://proximacentauri.fr/ https://www.rociocanovalino.com/
"Girá" (2024) de Guilherme Ribeiro Création mondiale par l'ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette CHARRIER, saxophone Sylvain MILLEPIED, flûte Julien PELLEGRINI, percussion Hilomi SAKAGUCHI, piano Christophe HAVEL, électronique Pascal ROUSSEAU, tuba Le 24 novembre 2024 au Théâtre des Quatre Saisons de Gradignan, lors du Festival MÀD (lefestivalmad.fr). "Nous sommes le début, le milieu et le début." (Nego Bispo) Conçue à partir de gestes sonores circulaires, « Girá » est une pièce qui évoque la circularité des cultures afro-brésiliennes manifestée dans leur mode d'organisation sociale, dans leur philosophie et spiritualité, et dans leur art. Du cercle de capoeira et du cercle de samba au cercle d'umbanda, le 'tourner' règne. L'un des aspects musicaux centraux de « Girá » est le rythme. Non pas le rythme comme paramètre abstrait, mais des rythmes inspirés des percussions de la musique afro-brésilienne : des rythmes que l'on retrouve dans la capoeira, la samba et l'ijexá. La structure formelle de « Girá » est divisée en trois sections principales, qui seront définies par les modes d'action de chaque membre de l'ensemble. Dans la première grande section, chaque membre réalise des actions plus ou moins individuelles par rapport aux autres membres du groupe, aboutissant, dans la pratique, à des moments de jonctions instrumentales complexes et contrastées ainsi qu'à des moments individuels au sein de l'ensemble dans une activité d'échange de cette « action protagoniste » dans des durées considérablement courtes. Dans la deuxième section, nous avons la transformation de ces actions instrumentales individuelles en un grand corps collectif unique, représenté par un moment tutti isorythmique important. Enfin, une section entière est dédiée à l'un des instruments du groupe qui apparaît au premier plan, filtrant tous les instruments pour lui-même et est mis à l'honneur dans la pièce avec un long solo jusqu'à la fin. Dans toutes ces sections, les rythmes mentionnés ci-dessus et la construction de gestes sonores circulaires seront toujours la base et le mouvement de « Girá». ------------------- "We are the beginning, the middle and the beginning." (Nego Bispo) Conceived from circular sound gestures, "Girá" is a piece that evokes the circularity of Afro-Brazilian cultures manifested in their mode of social organization, in their philosophy and spirituality and in their art. From the capoeira circle and the samba circle to the umbanda circle, 'rotating' reigns. One of the central musical aspects of "Girá" is rhythm. Not rhythm as an abstract parameter, but rhythms inspired by the percussion of Afro-Brazilian music: rhythms that we find in capoeira, samba and ijexá. The formal structure of "Girá" is divided into three main sections, which will be defined by the modes of action of each member of the ensemble. In the first major section, each member carries out more or less individual actions in relation to the other members of the group, resulting, in practice, in moments with complex and contrasting instrumental junctions as well as moments of individual protagonists within the group together in an activity of exchange of this "protagonist action" in considerably short periods of time. In the second section we have the transformation of these individual instrumental actions into a single large collective body, represented by an important isorhythmic tutti moment. Finally, an entire section dedicated to one of the group's instruments appears in the foreground, filtering all the instruments for itself and starring the piece until the end in a long solo. In all these sections, the rhythms mentioned above and the construction of circular sound gestures will always be the basis and movement of "Girá". Remerciements à ©Santiago Ortiz pour la captation vidéo. Montage vidéo : ©Lorie Briquez
"elaborate fingers possibly touch" (2024) de Fernando Strasnoy Création mondiale par l'ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette CHARRIER, saxophone Sylvain MILLEPIED, flûte Julien PELLEGRINI, percussion Hilomi SAKAGUCHI, piano Fernando STRASNOY, composition et électronique Christophe HAVEL, électronique Pascal ROUSSEAU, tuba Le 24 novembre 2024 au Théâtre des Quatre Saisons de Gradignan, lors du Festival MÀD (lefestivalmad.fr). Cette œuvre fait partie d’un triptyque inspiré par le poème “but the other” écrit par e.e. Cummings, avec les pièces "a reminiscence partaken" écrit pour Input Duo et "unchangingly the always" écrit pour le Collective lovemusic. Elle met en place un système de dualités dans plusieurs paramètres du son, notamment dans le contraste et la porosité entre les champs acoustique et électronique. Le récit se base sur les échos de la construction, de la déconstruction et de la reconstruction des matériaux. ------------------- 'elaborate fingers possibly touch' is part of a trio of works inspired by the poem 'but the other' written by .e. Cummings. The series is completed by the pieces 'a reminiscence partaken' (written for the ensemble INPUT DUO) and 'unchangingly the always' (written for the Collective LOVEMUSIC). In this proposal, the idea was to set up a system of dualities in several parameters, particularly in the relationship and porosity, between the acoustic sound field and the electronic sound field. The narrative is based on the echoes of the construction, deconstruction and reconstruction of materials with a strong sense of identity, created through genuine research into timbre and the contrasting temporality of these materials. By setting up the musicians as alter-egos of a partner and deploying the piece as an immersive experience using a broadcasting device around the audience, creating a second ensemble, the proposal is that of another sound reality, a double dreamlike, sensory and poetic experience. Remerciements à ©Santiago Ortiz pour la captation vidéo. Montage vidéo : ©Lorie Briquez Voir aussi le montage proposé par Fernando Strasnoy : https://www.youtube.com/watch?v=Dk-d8OYPYIQ
"Virtual Galaxy Simulation" (2024) de Luciana Perc Création mondiale par l'ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette CHARRIER, saxophone Sylvain MILLEPIED, flûte Julien PELLEGRINI, percussion Hilomi SAKAGUCHI, piano Christophe HAVEL, électronique Pascal ROUSSEAU, tuba Le 24 novembre 2024 au Théâtre des Quatre Saisons de Gradignan, lors du Festival MÀD (lefestivalmad.fr). Cette pièce de chambre avec vidéo et électronique pour Proxima Centauri et Pascal Rousseau explore une nouvelle approche de la sonification des données cosmologiques et est composée pour la simulation de la formation des galaxies ASURA par Takayuki Saitoh et Takaaki Takeda. La sonification des données astronomiques a été abordée en créant des séries hexachordales et ses rotations à partir des coordonnés spatiales, ainsi qu'en traçant des correspondances entre les nuances de lumière et de couleurs et les différents types sonores introduits par Lachenmann. Cette pièce vous propose de découvrir de nouvelles façons d'imaginer et matérialiser les sons de l'univers. ------------------- This chamber work with video and electronics for Proxima Centauri and Pascal Rousseau explores a new approach to the sonification of cosmological data and is scored to the ASURA Simulation of Galaxy Formation by Takayuki Saitoh and Takaaki Takeda. The sonification of astronomical data was addressed using spatial coordinates to create hexachordal series and rotations as well as by mapping visual textures and colour gradings to different sound types as introduced by Lachenmann. The piece offers an opportunity to engage with new imaginative ways of sonically mattering the universe. Scored to the ASURA Simulation of Galaxy Formation by Takayuki Saitoh and Takaaki Takeda. Remerciements à ©Santiago Ortiz pour la captation vidéo. Montage vidéo : ©Lorie Briquez
"Étude sur le flou" (2024) de Henri Colombat Création mondiale par l'ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette CHARRIER, saxophone Sylvain MILLEPIED, flûte Julien PELLEGRINI, percussion Hilomi SAKAGUCHI, piano Christophe HAVEL, électronique Le 24 novembre 2024 au Théâtre des Quatre Saisons de Gradignan, lors du Festival MÀD (lefestivalmad.fr). Cette pièce fait partie d'une série d'études mettant l'acte photographique en scène pour puiser dans sa théâtralité gestuelle ainsi que sa relation particulière au souvenir et au son. L'appareil photo analogique sert à orienter la pièce à l'intérieur de mes propres souvenirs. À travers sa liaison avec l'électronique, un passé flou, lié à des lieux particuliers et leurs sons, est non seulement évoqué, mais habité brièvement par la pièce. ------------------- This piece is part of a series of studies staging the photographic act to draw on its gestural theatricality as well as its particular relationship to memory and sound. The analog camera serves to orient the piece within my own memories. Through its connection with the electronics, a vague past, linked to particular places and their sounds, is not only evoked, but inhabited by the piece. Remerciements à ©Santiago Ortiz pour la captation vidéo. Montage vidéo : ©Lorie Briquez Voir aussi le montage proposé par Henri Colombat : https://www.youtube.com/watch?v=tsILaizqpeQ
"Le Labyrinthe de Thanatos" (2024) de Ehwa Hong Création mondiale par l'ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette CHARRIER, saxophone Sylvain MILLEPIED, flûte Julien PELLEGRINI, percussion Hilomi SAKAGUCHI, piano Christophe HAVEL, électronique Le 24 novembre 2024 au Théâtre des Quatre Saisons de Gradignan, lors du Festival MÀD (lefestivalmad.fr). On définit souvent le concept de Thanatos à travers deux perspectives : Thanatos, le dieu de la mort dans la mythologie grecque, et Thanatos dans la théorie psychanalytique de Sigmund Freud. « Le Labyrinthe de Thanatos » s'inspire de ce dernier concept psychologique. Dans la théorie freudienne, Thanatos représente la pulsion de mort, en opposition à Éros, la pulsion de vie et de survie. Selon Freud, le comportement humain est guidé par ces deux pulsions fondamentales. Thanatos englobe des pulsions destructrices et agressives, ainsi que des tendances suicidaires. Il reflète le désir instinctif des êtres vivants de retourner à un état de paix originelle. « Le Labyrinthe de Thanatos » explore cette notion en se concentrant sur le thème de la pulsion. La composition du morceau présente constamment de nouvelles figures et images sonores, évoquant le désir de revenir à cet état originel symbolisé par Thanatos. Chaque partie de cette œuvre a été soigneusement conçue pour représenter les pulsions destructrices à travers divers contrastes. L'évolution de ces figures contrastées et leur perception par le public étaient au cœur de la démarche artistique de cette composition. Cette pièce offre une exploration artistique des instincts sombres de l'être humain et des pulsions qui en découlent. À travers le prisme de Thanatos, cette œuvre met en lumière nos désirs destructeurs inconscients et notre quête de tranquillité. Les auditeurs sont invités à plonger en eux-mêmes, pour mieux comprendre la relation complexe entre instinct et pulsion. ------------------- According to Sigmund Freud, Thanatos represents the inherent death drive in human nature, seeking to destroy itself and transform into an inorganic object devoid of life. This tendency is often interpreted as a self-destructive instinct, but it also expresses a strong aggressiveness and a destructive tendency towards others. In this work, I address this latter random manifestation of Thanatos. For the concept of the piece, I was inspired by numerous cinematic works related to death and the impulse of life. What I found interesting in these works is that even though the stories depict deaths caused by improbable impulses, the cause of these deaths and the resulting consequences are understandable. In other words, the stimulation provided by novelty and the structure that was not difficult to follow were very appealing. This led me to reflect on how novelty and impulse are received to determine the structure and tone of the piece. Remerciements à ©Santiago Ortiz pour la captation vidéo. Montage vidéo : ©Lorie Briquez
SABIA, de Juan Arroyo pour flûte, saxophone, piano, percussions, et dispositif électroacoustique Création musicale : 2020-2021 Adaptation de la forme VR "Scène Virtuelle" (2023-2024) : Vincent Ciciliato SABIA VR SABIA (« sage » au féminin, en espagnol) est un Requiem non liturgique pour la Nature. D’une durée approximative de 30 minutes, cette pièce est issue d’une réflexion sur la situation de la planète à une époque où la main de l’homme semble avoir presque tout modifié à jamais. (https://juan-arroyo.com/) LES SCÈNES VIRTUELLES de Proxima Centauri Après ANALOG VR de Christophe Havel, SABIA VR est la deuxième œuvre au catalogue des "Scènes Virtuelles" initiées et produites par l'ensemble Proxima Centauri, dont l'ambition, en plaçant l’auditeur en immersion dans un environnement visuel 3D créé par un artiste plasticien et en lui permettant d’interagir avec lui, est de proposer une expérience esthétique renouvelée en offrant un autre accès à l’univers poétique d’une œuvre et d’un compositeur, complémentaire de l’expérience du concert. Compositeur : Juan Arroyo Adaptation visuelle et scénographie VR : Vincent Ciciliato Musicien·nes : Ensemble Proxima Centauri : Marie-Bernadette Charrier, Sylvain Millepied, Hilomi Sakaguchi, Benoît Poly, Christophe Havel Prises de vues topographiques 3D Marion Roche (ltbl) & Benjamin Petit (ltbl) (https://ltbl.fr) ------------------- PRODUCTION ET SOUTIENS Production : Proxima Centauri Avec le soutien de : Région Nouvelle-Aquitaine “Cultures Connectées”, Sacem, CNM-Centre National de la Musique (Programme Diffusions Alternatives), Radio France, Mairie de Thiers, Mairie de Saint-Etienne, Creux de l’Enfer, Laboratoire ECLLA, Théâtre des Quatre Saisons à Gradignan. - - https://proximacentauri.fr/ http://scenesvirtuelles.fr/ https://juan-arroyo.com/ https://www.vincentciciliato.net/
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+33 5 57 95 71 52

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